Conseillère Municipale– Adjointe au Maire de Marseille
Déléguée à l’Action Familiale et aux Droits des Femmes
Conseillère régionale de Provence Alpes Côte d'Azur
Membre du Haut Conseil à l'Intégration
Si Jean avait un autre nom, nous aurions entendu dire que ce jeune est pétri de talent, qu’il est très mature pour son âge et qu’il à tous les atouts pour réussir.
Mais là, il s’agit du fils du président de la République, pas n’importe lequel « SARKOZY »
Il y a des personnes qui n’acceptent pas le suffrage universel, car il s’agit bien de cela. Depuis son élection le 06 mai 2007, ils n’ont eu de cesse de faire de l’anti SARKOZY.
La première personne visée est Nicolas SARKOZY, l’opposition ou plutôt les opposants de Nicolas Sarkozy n’ayant aucune alternative à proposer aux français, multiplient les coups bas et évoluent dans un autre registre “le commérage“
Il n’y a pas de quoi être fier, les français ne sont pas dupes.
Stop, il faut arrêter ces mesquineries.
Nicolas SARKOZY est le président de la République, le président de tous les français.
Pour qu’une démocratie vive, il faut qu’il y ait une opposition saine, qui joue son rôle pleinement, qu’elle soit force de proposition. Or à ce jour ce n’est pas le cas.
Faut-il rappeler que Jean Sarkozy à été élu lors des élections cantonales des 9 et 16 mars 2008 à Neuilly-sud (Hauts-de-Seine) encore le suffrage universel remis en cause par certains.
Ils prédisent qu’il ne sera pas à la hauteur, moi je dis nous verrons !
Aujourd’hui Jean SARKOZY se porte candidat à la présidence de l’EPAD, il sera opposé à Patrick Jarry, le maire (PCF) de Nanterre.
Je lui souhaite de tout mon cœur de remporter cette élection et de réussir dans sa mission à la présidence de l’EPAD.
Le projet de loi sur la formation professionnelle adopté par le parlement cette semaine vise à faciliter l’accès à la formation à ceux qui en ont le plus besoin et à mettre en place un système plus juste et plus transparent.
Faire en sorte que la formation aille à ceux qui en ont le plus besoin
Face à un système devenu injuste et pas assez efficace alors que les sommes en jeu sont considérables, la refonte du système de formation professionnelle s’imposait. C’est la raison pour laquelle, dès 2007, Nicolas Sarkozy en avait fait un engagement de sa campagne présidentielle.
Cette réforme s’avère d’autant plus nécessaire aujourd’hui dans le contexte actuel de crise de l’emploi. « La formation professionnelle est la meilleure arme anti-crise », avait ainsi déclaré Laurent Wauquiez, secrétaire d’Etat à l’emploi, avant le vote de ce texte. Ce sont 200 000 chômeurs de plus et 500 000 salariés peu qualifiés qui seront désormais formés chaque année.
Le texte adopté définitivement le 14 octobre reprend très largement l’accord national interprofessionnel signé par les partenaires sociaux, le 7 janvier 2009.
Les principaux points pour rétablir l’égalité face à la formation et mieux articuler formation et emploi
Principale innovation du texte, le redéploiement de l’argent vers les publics qui en ont le plus besoin, à savoir les personnes les moins qualifiées, les salariés de petites entreprises et les chômeurs. En effet, aujourd’hui, un ingénieur ou un cadre a en moyenne de trois fois plus de chance de se voir proposer une formation qu’un ouvrier non qualifié.
- création d’un Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels destiné aux salariés les moins qualifiés et aux demandeurs d’emploi. - le DIF (droit individuel à la formation) est désormais rattaché à la personne et non plus à son « statut » de salarié. C’est ce que l’on nomme la « portabilité » du (DIF). Il pourrait désormais être utilisé en cas de chômage, pendant la moitié de la période d’indemnisation, ou dans la nouvelle entreprise pendant deux ans sous conditions. - mise en place d’un bilan d’étape professionnel, après deux ans d’ancienneté, et actualisable tous les cinq ans. - création d’un "passeport formation" qui récapitulera le parcours du salarié. - les chômeurs susceptibles d’occuper un poste proposé par le Pôle emploi pourront bénéficier de la Préparation opérationnelle à l’emploi (POE). Elle leur permettra d’acquérir les compétences nécessaires à ce poste.
A ceci s’ajoute l’élargissement des contrats de professionnalisation aux chômeurs de plus de 25 ans et aux bénéficiaires du RSA, de l’allocation de solidarité spécifique (ASS), de l’allocation pour adultes handicapées (AAH), ou d’un contrat unique d’insertion.
Reconsidérer le statut des seniors
L’autre innovation soutenue par le projet de loi concerne la revalorisation de l’expérience des quinquagénaires. En encourageant les seniors à jouer le rôle de « tuteurs », capables d’encadrer les débutants, le gouvernement souhaite valoriser leur expérience et encourager leur présence en entreprise, plus rare en France que dans les autres pays européens. Par ailleurs, les entreprises de plus de 50 salariés devront proposer un bilan d’étape à leurs salariés de plus de 45 ans.
L'association Odysséa (association de loi 1901), imaginée par deux amies, Frédérique Jules (kinésithérapeute) et Frédérique Quentin (ancienne internationale d'athlétisme) a été créée en juillet 2002. C'est en s'inspirant de manifestations caritatives très populaires dans les pays anglo-saxons (Race for life au Royaume-Uni ou Race for the cure aux Etats-Unis) que les deux fondatrices ont imaginé leur projet pour aider la lutte contre le cancer du sein.
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent et la première cause de mortalité chez la femme entre 35 et 55 ans. En France, il est responsable de près de 12 000 décès par an soit 19% des décès féminins par cancer et 40% des décès prématurés avant 65 ans. Ces dernières années, le taux de décès lié au cancer du sein a chuté grâce notamment, à un diagnostic plus précoce et au développement de meilleurs traitements. Odysséa grâce aux fonds collectés sur ses événements s’associe à tous les acteurs de santé et associations d’accompagnement de la maladie qui par leurs efforts participent à accélérer la recherche sur les traitements du cancer du sein et permettent de donner à chaque patiente les meilleures chances de guérison.
Rassembler en ce dimanche d’octobre les familles et nos partenaires dans les salons d’honneur du Stade Vélodrome, lieu hautement symbolique pour tous les marseillais, est une façon dynamique de conclure une année riche en manifestations : demi-journées d’informations et d’échanges sur les familles recomposées, Journée Internationale des Femmes, Journée « Portes ouvertes » et présentation du nouveau guide « Les 100 lettres de la vie quotidienne ».
Cette « Fête de la famille » sera l’occasion de réunir de nombreux enfants, parents et grands-parents autour de nombreuses animations, ateliers et spectacles. Elle permettra également aux familles de s’informer et de se renseigner auprès des nombreux partenaires fortement impliqués dans cette journée intergénérationnelle.
Vous trouverez des informations sur la vie quotidienne et des professionnels à votre écoute. Vous pourrez aussi vous détendre et vous distraire en famille : théâtre, danse, musique, ateliers de maquillage, d’écriture, dessin, marionnettes, etc…
Et vous pourrez même repartir avec « votre »photo de famille !
Merci à nos partenaires associatifs et institutionnels pour leur soutien fidèle. Je remercie l’Hôpital de la Timone qui a accepté de faire participer les enfants malades à cette manifestation à travers un concours de dessin. Un merci aussi aux enfants qui nous ont offert de superbes réalisations, riches d’imagination et d’espoir sur les thèmes de la famille et de la parité. Enfin, un grand merci aux familles de Marseille, qui par leur questionnement, leurs attentes, leurs échanges contribuent à la richesse et à la réussite d’une telle manifestation.
Je suis satisfaite de la présentation du programme pour la jeunesse faite par le Président de la république.
C'était une promesse du président de la République et il l'a tenue.
Création d'un RSA jeunes, aide à l'acquisition d'une mutuelle, expérimentation de trois nouvelles aides, une mensualité supplémentaire pour certains boursiers... Le plan en faveur des 16-25 ans va coûter 500 millions d'euros.
La création d'un RSA-jeunes
Actuellement ouvert aux seules personnes de moins de 25 ans ayant des enfants, le revenu de solidarité active bénéficiera désormais également aux jeunes sans charge de famille à la condition qu'ils puissent justifier de deux ans (ou plus précisément 3.600 heures) de travail dans les trois dernières années. S'ils travaillent, ils auront un complément de revenu (" RSA chapeau "). S'ils ont perdu leur emploi et n'ont plus de droit à chômage, ils toucheront l'ex-RMI (" RSA socle "), à moins d'avoir eu le statut d'étudiant lorsqu'ils travaillaient. Le nombre de bénéficiaires potentiels en 2010 est évalué à 160.000 (dont 40.000 en fin de droit à chômage), pour un coût de 250 millions d'euros. " Une fois qu'un jeune a travaillé deux ans, les règles deviennent les mêmes que pour un adulte ", résume Martin Hirsch.
Un coup de pouce au Civis
80 millions d'euros vont être consacrés à une augmentation de l'allocation au titre du contrat d'insertion dans la vie sociale (Civis), actuellement de 300 euros par mois et 900 euros par an maximum.
Une hausse des moyens des missions locales
Les missions locales, pivot de l'accompagnement des jeunes, verront leurs moyens renforcés " à la hauteur de leurs résultats dans la prise en charge de ces jeunes ", de 40 millions d'euros en 2010.
Un " droit à préparer sa vie active " entre 16 et 18 ans
Dans le prolongement de l'obligation scolaire, l'objectif de ce nouveau droit, qui ne sera pas opposable, est de ne pas laisser de jeune mineur sans accompagnement s'il décroche de l'école avant 18 ans. 30 millions d'euros seront dégagés en 2010 pour financer des plates-formes régionales d'orientation qui devront leur offrir immédiatement une solution : école de la deuxième chance, apprentissage, formation, etc.
Une aide à l'acquisition d'une mutuelle
Quelque 15 % des jeunes de moins de 25 ans n'ont pas de complémentaire santé. L'idée est de doubler l'aide actuelle pour les plus modestes qui n'ont pas accès à la CMU, qui est de 100 euros, soit un coût de 30 millions d'euros.
Une mensualité de plus pour certains boursiers
Il est prévu d'accorder un dixième mois de bourse aux étudiants dont le cursus s'étale de septembre à juin. 9 % des boursiers seraient dans l'immédiat concernés pour 15 millions d'euros.
L'expérimentation de trois nouvelles aides
En 2010 et 2011, 50 millions d'euros seront consacrés à expérimenter trois projets : un accompagnement intensif de jeunes ayant décroché suivant un parcours d'insertion ; une garantie minimale de ressources pour les jeunes peu qualifiés ou au chômage de longue durée qui accepteraient " toute offre de formation ou d'emploi proposée par son référent " ; une dotation permettant au jeune de toucher lui-même une partie des aides attribuées à ses parents pour financer certaines dépenses.
Des pré-recrutements dans le privé
Objectif : permettre aux entreprises d'aider des jeunes à financer leurs études en échange d'un engagement à travailler ensuite pour elles pendant une certaine durée. Les partenaires sociaux vont être saisis.
Un renforcement de l'apprentissage
Les apprentis pourront bénéficier des mêmes avantages que les étudiants.
Pour conclure le cycle des demi-journées d’information consacré cette année à la famille et en particulier aux familles recomposées, j’ai souhaité que soit abordée une question d’actualité qui intéresse tous les parents : l’autorité dans l’éducation des enfants.
La société est de plus en plus complexe, le monde d’aujourd’hui n’est plus celui d’hier. Cependant, l'autorité n'en demeure pas moins un élément essentiel dans la construction du futur adulte et indispensable pour son intégration au sein de la société.
L’autorité est-elle naturelle, peut-on l’acquérir ? Comment la mettre en pratique ? Pourquoi est-elle si difficile à exercer pour certains parents ? Pourquoi l’enfant a-t-il besoin d’autorité ? Que faire lorsque la parole des parents ne suffit pas ou est défaillante ? Autant de questions dont nous vous proposons de débattre, comme d’habitude, avec des professionnels.
Nous vous remercions encore de l’intérêt que vous portez à chacune de nos rencontres. Sans vous, ces rendez-vous n’auraient pas le même succès ni la même richesse. Avec vous, nous fêterons la famille avant la fin de l’année.
Nora Remadnia Preziosi
Je vous donne rendez-vous jeudi 08 octobre 2009 de 08h30 à 12h00
à la Cité des Associations 93 La Canebière 13001 Marseille
A l'occasion d'une journée portes ouvertes, la direction de l'action familiale et des droits des femmes présente son nouveau guide "Les 100 lettres de la vie quotidienne".
La direction de l'action familiale et des droits des femmes accueille, chaque année, plus de 3 000 personnes qui viennent s'informer, écouter, chercher des conseils auprès de professionnels juridiques, de conseillère en économie sociale et familiale ou encore bénéficier d'une aide psychologique. Ces services sont gratuits et viennent en complément de guides pratiques mis à la disposition du public.
Le 11 juin, un nouveau guide"Les 100 lettres de la vie quotidienne" a éte présenté. Ce guide comprend 100 modèles de lettres, classés en 10 rubriques : achats, assurances, automobile, famille, finances, justice, logement, loisirs, relations de voisinage, téléphone/internet. Il sera disponible, dès jeudi11 juin, sur place, dans les mairies de secteur et les bureaux municipaux de proximité.
"Ce guide apportera un concours efficace à la rédaction des courriers concernant les problèmes de la vie des femmes et des familles. Il a été fait pour aider les personnes à acquérir une certaine autonomie" précise Nora Preziosi, adjointe au maire déléguée à l’action familiale et aux droits des femmes. Plus d'infos au 04 91 14 66 34
